Alors que le chômage atteint des sommets, une formation propose d’apprendre les rudiments du plus vieux métier du monde. Et pour l’instant, ça n’a rien d’illégal.
Une enquête judiciaire a été initiée par le gouvernement de la Communauté Autonome de Valence : y-a-t-il un délit de proxénétisme ? Les juges ont estimé, un mois plus tard, que ce n’était pas le cas : aucun élément probant n’a révélé que le cours s’adresse à des mineurs ou qu’il prône la prostitution.
C’est ainsi que, en l’absence de toute preuve de délit, les formateurs ont recommencé la recherche d’élèves il y a quelques semaines. Une rentrée scolaire en quelque sorte.